Vous estimez que des « alarmes » (dégradations, mots affichés, mauvaises ententes … ) annoncent des conflits importants, de la violence.
Des outils adaptés sont proposés et mis en place pour prévenir la rupture du lien social et pour désamorcer les conflits dans une copropriété, dans une résidence, dans des logements sociaux, ou dans un ensemble de pavillons.
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Un simple événement peut favoriser ou créer un conflit, de la violence.
Un seul conflit de voisinage peut rendre invivable la vie dans une résidence, dans un ensemble pavillonnaire, dans une copropriété.
Le conflit transforme les personnes jusqu’à atteindre la rupture des liens sociaux et parfois le conflit est source de violence et de destruction (on rejette toutes décisions prises en assemblée générale, on frappe aux murs, contre les radiateurs, les boîtes aux lettres sont vandalisées, on insulte le voisin, on en vient aux mains, on se fait du mal à soi-même ...).
Pourtant, ces conflits destructeurs et cette violence peuvent être en majorité évités.
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« Si mon voisin n’est pas forcément mon ami, il n’est surtout pas un ennemi ». Entre l'ami et l'ennemi, il y a une personne humaine à côté de laquelle on vit, avec laquelle on peut parler, discuter, réaliser des projets, ou travailler, et même si on n'est pas d'accord sur tout.
Une aide est proposée pour gérer et comprendre les conflits salutaires ou positifs, avant que ce dernier devienne un conflit destructeur, violent ou négatif.
Un conflit positif permet aux personnes, au préalable pas d'accord, d'échanger, de dialoguer, d'argumenter sans frustration ou sans autres sentiments négatifs, sans violence et ce, afin de travailler, d'agir collectivement, de construire à plusieurs, de vivre ensemble.
Le désaccord peut devenir Accord, Solution ou Entente.
Aborder un conflit, c'est l'assurance de ne plus jamais le repousser dans le temps, c'est éviter qu'il revienne et qu'il grandisse en violence.